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Spectacles

SPECTACLE 
Les Levrettes de Belleville

4 femmes racontent et chantent le plaisir au féminin, accompagnées au piano ou dans le plus simple appareil d’un a cappella

Spectacle à partir de 10 ans I 50 mm I Spectacle musical

Longtemps le plaisir des femmes leur a été interdit, confisqué, moralisé.

Les Levrettes de Belleville ont décidé de chanter avec malice et sans tabou le plaisir féminin sous toutes ses formes.

Le plaisir du jeu, le plaisir d’exprimer des mots sensuels, osés, gourmands.

 

Ces 4 femmes, 4 sensibilités, 4 sensualités, réveillent nos sens sur le lit des mots, avec la vibration des sons et la caresse du souffle.

Sujet facile ? Acquis ? Scandaleux ?

 

Venez vous laisser surprendre avec les Levrettes de Belleville.

Le Propos

« Le seul plaisir, c’est quand ça fait du bien » - Raphaël Callandreau

Le plaisir, c’est lui que nous allons avant tout convoquer, explorer. Et puisque nous sommes 4 femmes, il sera féminin. Le plaisir n’est pas une science exacte puisqu’il est totalement subjectif. Il est solitaire ou se partage, il est doux ou brusque, lent ou rapide… vaste sujet dont on n’est pas prêt.e.s de voir le « bout » ! Celui que nous explorerons dans ce projet sera - appelons une chatte, une chatte - sexuel !

 

« Si c’est fini quand ça commence, voyez ça me fatigue un peu » - Anne Sylvestre

L’érotisme se différencie de la sexualité, car il ne renvoie pas à l’acte lui-même, mais plutôt à tout ce qui provoque le désir, et à toutes les projections mentales que ce dernier évoque, jouant généralement sur l’imagination, l’implicite ou la suggestion. Il y aurait donc autant d’érotismes que d’êtres humains : voilà qui est très alléchant ! Qu’est-ce qui provoque en nous l’envie de toucher, d’embrasser, de s’abandonner ? A travers les mots de plusieurs auteur-ices, nous vous proposons de « toucher du doigt » quelques-unes de ces projections. Pour éviter tout malentendu, à ce stade de la lecture : l’érotisme n’ayant rien à voir avec la pornographie, nous serons bien évidemment vêtues, seuls nos désirs seront mis à nu…

« Moral ordinaire – Faire comme tout le monde, y penser toujours, n’en parler jamais » - Philippe Adam

Le tabou : longtemps le plaisir des femmes leur a été interdit, confisqué, moralisé, les faisant passer pour des putains, des hystériques, des sorcières… Est-ce la faute d’Eve ou de sa pomme ? Dieu seul le sait. Réduites à leur capacité d’enfanter, les femmes ont dû se battre pour faire entendre à la société que plaisir et procréation sont deux choses différentes, et avoir le droit de sortir de l’unique modèle de la sexualité fécondante…

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